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Fréjaville Thierry

Thierry Fréjaville est un authentique "self made man". De ceux qui ne doivent leurs succès qu'à eux-mêmes, à force de travail, de conviction, d'enthousiasme et de volonté.

Bien que peu porté sur les études, il a en lui le goût de la réussite. Il va en apprécier la saveur grâce à l’école Bernard Tapie d’Ambert. Après celle de Béziers, première du genre, le modèle est dupliqué à Marseille, Compiègne, Montreuil et Ambert. La sélection est sévère, les élèves motivés, la formation intense. Et l’efficacité au rendez-vous, avec un taux de retour à l’emploi maximal.

C’est le début des années 90. Thierry Fréjaville a 24 ans. Grâce à un recrutement axé sur les qualités de l’individu (courage, motivation, imagination…), le jeune Auvergnat bénéficie d’une approche sophistiquée des techniques de communication (être, paraître, confiance en soi…), mais aussi d’un enseignement professionnel qui alterne cours théoriques et stages en entreprise.

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La force
de la pédagogie

Dès la fin d'un cursus auquel il a adhéré avec passion, il ouvre une première auto-école, en janvier 1994, boulevard Lafayette à Clermont-Ferrand.
"J'étais gonflé à bloc, je n'imaginais pas pouvoir échouer ", sourit-il à l'évocation de ses jeunes années. Trois ans plus tard, il rachète l'auto-école Fénelon, boulevard Côte-Blatin, à Clermont-Ferrand toujours. Suivront celle des Paulines (2004) et de la place Sugny (2011).
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Parallèlement, en 1999, Thierry Fréjaville ouvre une agence de location de véhicules, Activ’location.
« J’ai été le premier petit loueur de véhicules du Puy-de-Dôme », se souvient-il non sans quelque fierté.
Un an plus tard, il crée un centre de formation agréé.

D’abord axées sur les stages de récupération de points du permis de conduire, les formations s’élargissent à la préparation à l’examen de chauffeur de taxi, en 2003, puis de conducteur de véhicule de transport (VTC), en 2014.

Après celui du département du Puy-de-Dôme, son centre de formation obtient successivement ceux des trois autres départements de l’ancienne région Auvergne, auxquels viennent s’ajouter la Corrèze et la Lozère.
Là aussi, le succès est impressionnant. Les formations ne désemplissent pas, avec un taux de réussite qui avoisine 95%.

La quantité des stagiaires s’accroît en proportion de la notoriété du centre de formation, laquelle provient de ses excellents résultats. Ce cercle vertueux est dû à un investissement sans faille de son dirigeant, ainsi qu’à la force de sa pédagogie.

 » Quand je prends une personne, je la forme et je la place. Je suis fier de dire que tous mes gens ont un travail à la sortie « . Sans jamais croire que c’est gagné d’avance : les jours d’examen, le plus stressé de tous est Thierry Fréjaville :  » Quand ils le passent, je ne mange pas à midi « , avoue-t-il. Il ne retrouve l’appétit qu’à l’annonce des résultats. Bons, invariablement, même s’il doit les relire deux fois pour s’en convaincre.